Le Spectre de la rue Saint-Jacques

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Le Spectre de la rue Saint-Jacques

Marseille, avril 1906. Dans le parc de la propriété "La Mitidja" est retrouvé un cadavre... vieux de dix ans ! Quelques jours plus tard, un voisin entrepreneur meurt brutalement après avoir reçu des lettres de menaces. Honoré Castellain, propriétaire et premier suspect, est soupçonné mais aussitôt relâché. En chasse d'informations pour la rubrique judiciaire du Petit Provençal, Raoul Signoret se passionne pour l'affaire, aidé de son fidèle oncle Eugène Baruteau, chef de la police. Il retrouve avec émotion son premier camarade d'école, Edouard Castellain, qui lui confie des informations de première main sur les sinistres événements survenus au domaine paternel. Mis à pied pour son refus de chanter les louanges de la politique coloniale, Raoul devient libre pour l'enquête... Celle-ci l'entraînera, avec sa femme la pétillante Cécile, d'Alger la Blanche aux séances de spiritisme : un cerbère meurtrier et un fantôme inquiétant sont au rendez-vous.

Après "L'Enigme de La Blancarde", "La Faute de l'abbé Richaud", "Le Secret du docteur Danglars" et "Double crime dans la rue Bleue", Jean Contrucci, critique littéraire à La Provence, nous conte un nouveau mystère de Marseille, élucidé par le désormais mythique tandem Signoret-Baruteau.

Ce roman est du même niveau que les autres de la série, très agréable à lire et faisant décrivit au lecteur une des nombreuses facettes de la Belle Epoque.

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